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Le courrier ci-dessous publié

constitue

LE PREMIER RETOUR ECRIT

a avoir été déposé dans ma boîte à lettres...

(Je mets ce fait en évidence car, si vous portez attention aux dates,

vous ne pourrez que constater une incohérence...)

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Ce premier retour de courrier atteste du fait que Le Président a négligé la raison pour laquelle je me suis adressé directement à lui, à l'Elysée.


J'y ai été contraint à cause du Corporatisme* qui gangrène les Institutions du département du Rhône ; et c'est à La Préfecture du Rhône que Le Président de La République Nicolas SARKOZY a fait transférer mon dossier...

* Lorsque de telles exactions sont commises en des pays étrangers tels que la Russie, l'Argentine, l'Italie ou la Chine, la France n'hésite pas à les dénoncer en usant du terme Mafia. Mais lorsque celles-ci sont commises en son sein, la France préfère parler de Corporatisme ; un terme choisi pour insinuer, de façon volontairement erronée, la notion de respectabilité...

Conséquence prévisible par avance : en ce premier retour de courrier, il n'est aucunement fait référence à mes légitimes revendications, exprimées en la première lettre ouverte destinée au Président.


Le contenu de ce courrier est clairement voué :


- soit à me manipuler (voir développement ci-dessous),


- soit à me décourager en me faisant comprendre que l'Institution d'Etat, de laquelle il provient, se refuse à assumer la moindre responsabilité.


En résumé : Chef du Bureau du Cabinet du Préfet du Rhône, Olivier HEINEN signe de sa main ce qu'il convient d'appeler "une lettre de merde" !

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Pour commencer, faisant fi de mes écrits, Olivier HEINEN met en évidence le fait qu'un notaire est :

« un auxiliaire de Justice »...


Et Alors ?


Avoir le statut d'auxiliaire de Justice confère-t-il le droit de ne pas respecter les textes de loi ? De renier son serment ? De harceler son prochain au point de le pousser au suicide, en toute impunité ?


Cela signifie-t-il qu'avoir le titre de notaire dispense de devoir répondre de ses exactions devant La Justice de ce pays ?

(Pour mémoire : les notaires et La Justice ont pour point commun d'être officiellement tenus à l'Impartialité.)

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Pour finir, Olivier HEINEN conclut en écrivant qu'il m'appartient « de saisir les tribunaux civils pour faire résilier les ventes »..


Trois problèmes, en cela :


1°) Ces mots laissent à penser que, jamais jusque là, je n'ai tenté de faire valoir mes droits.


Ceci est absolument faux ! Et Olivier HEINEN devrait le savoir puisque, ainsi qu'il me l'écrit dans sa lettre ci-dessous exposée, les courriers que j'ai envoyés à l'Elysée lui ont été transmis ; documents pour lesquels il souligne que

« chacun a fait l'objet d'un examen attentif ».


2°) Jamais je n'ai écrit vouloir faire résilier les ventes !


Quiconque prend le temps de lire en intégralité les courriers, exposés sur ce site, peut en témoigner !


3°) Au travers de cette tournure de phrase, Olivier HEINEN semble mettre en pratique ce que l'on appelle

"la manipulation par la suggestion".


En effet, par le biais d'une phrase faussement bienveillante, il me suggère de suivre la direction des tribunaux civils pour vertu d'engager une procédure totalement absurde qui me détournerait de mon objectif légitime.

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Je vous laisse à présent prendre connaissance de la lettre en question ; en soulignant que, pour en comprendre toute la subtilité, il est impératif de lire préalablement

la première lettre destinée au Président.


La lettre du Cabinet du Préfet du Rhône :

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Bertrand LONGATTE représentait François BREMENS.


Bertrand LONGATTE et François BREMENS

représentaient

l'Etude CHAINE & Associés.


Bertrand LONGATTE, François BREMENS

et l'Etude CHAINE & Associés

étaient officiellement censés défendre mon intérêt...


(Voir Lettre à Etude CHAINE.)


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