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Le courrier ci-dessous publié

constitue

LE DEUXIEME RETOUR ECRIT

a avoir été déposé dans ma boîte à lettres...

(Je mets ce fait en évidence car, si vous portez attention aux dates,

vous ne pourrez que constater une incohérence...)

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Malgré le degré de subtilité appliquée aux tournures de phrases, présentées ici encore comme "bienveillantes", ce second retour de courrier a pour seules vocations :


- de m'impressionner, en mettant en exergue le fait que

La Sécurité Territoriale** "s'intéresse" à ma personne,


- et de me suggérer de ne plus prendre de nouvelles initiatives, de prendre sur moi dans le plus grand silence.


Mais pourquoi accepter de prendre sur soi, d'endosser les conséquences de responsabilités qu'il incombe à d'autres d'assumer ?


Et pourquoi se taire alors que ce même retour de courrier fait l'aveu, de façon sous-jacente, du fait que l'Etat transmet mes lettres uniquement aux services dépendant du Ministère de l'Intérieur ; et non à ceux dépendant du Ministère de La Justice ?


Selon l'Elysée, aucun service d'Etat ne serait compétent en le domaine de La Justice et du Droit Français ?

**La ZONE DE DEFENSE est un échelon administratif de La Sécurité Territoriale. Elle est vouée à trois missions :

- l'élaboration des mesures non-militaires de défense et la coopération

avec les autorités militaires,

- la coordination des moyens de sécurité civile sur la zone,

- l'administration d'un certain nombre de moyens de La Police

Nationale et des moyens de transmission du Ministère de l'Intérieur.

(www.rhone.gouv.fr/web/51-le-prefet-de-la-zone-de-defense-sud-est.php)

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Avant de vous laisser prendre connaissance de la lettre en question, j'attire votre attention sur un tout petit détail qui a son importance : pour comprendre toute la subtilité de ce courrier, il est impératif de lire ensuite ma réponse à celui-ci.


80% des personnes qui ont lu ce courrier n'en ont pas compris le sens immédiatement ; et l'ont considéré comme bienveillant.

Par contre, après avoir lu ma réponse, ces 80% sont revenus sur ce présent courrier pour lui porter une lecture radicalement différente ; justifiée par la réalité du contexte.


La lettre du Directeur de Cabinet de La Préfecture de La ZONE DE DEFENSE SUD EST Gilles ROUVEURE :

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Bertrand LONGATTE représentait François BREMENS.


Bertrand LONGATTE et François BREMENS

représentaient

l'Etude CHAINE & Associés.


Bertrand LONGATTE, François BREMENS

et l'Etude CHAINE & Associés

étaient officiellement censés défendre mon intérêt...


(Voir Lettre à Etude CHAINE.)


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